Journée mondiale de la MAUVAISE ALIMENTATION
Journée mondiale de la MAUVAISE ALIMENTATION .
Ce 21 juillet marque la Journée mondiale de la mauvaise alimentation.
Une occasion de réfléchir à nos habitudes alimentaires, souvent dominées par la facilité et le goût… mais à quel prix ?
Au Gabon, la mauvaise alimentaire est devenue courante : Nike, couper-coupé, poulet pané, sandwichs vite fait , beignets, fritures et sodas sucrés font désormais partie du quotidien, surtout en ville. Ces plats rapides sont pratiques, abordables et rassasiants. Mais derrière le plaisir immédiat se cache un danger silencieux.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une alimentation riche en produits gras, sucrés et ultra-transformés est un facteur majeur de maladies comme le diabète, l’hypertension, l’obésité et les accidents cardiovasculaires. Des problèmes de plus en plus présents dans les centres de santé du pays.

Se faire plaisir de temps en temps n’est pas un crime. Ce qui pose problème, c’est l’excès. Cette journée est l’occasion de repenser notre assiette, sans culpabilité mais avec conscience.
Manger local, frais, varié — légumes, poissons, fruits de saison, tubercules — c’est possible, même avec un petit budget. Et c’est souvent plus nutritif que les plats industriels ou les viandes grasses consommées chaque jour.

La solution, c’est l’équilibre. Manger doit rester un plaisir, mais aussi un acte de santé. Une portion de Nike ou de couper-coupé de temps en temps n’est pas dangereuse… tant qu’on ne s’y limite pas.
Mieux manger, c’est mieux vivre. Pour soi, pour sa famille, pour le pays.